L’écart se creuse entre les leaders de la confiance numérique et les retardataires. Mais le véritable danger vient du groupe intermédiaire. Bercées par un faux sentiment de sécurité, ces entreprises tardent à agir. Avec des conséquences potentiellement désastreuses.
À l’heure où monde réel et monde virtuel tendent à se confondre, la confiance numérique s’impose comme une nécessité opérationnelle, voire une question de survie pour les acteurs économiques du tout-connecté.
Mais qu’en est-il vraiment sur le terrain ?
Pour dresser un état des lieux de la confiance numérique et répondre à d’autres questions clés, nous avons mené l’enquête auprès de plusieurs centaines d’entreprises, de salariés et de consommateurs aux quatre coins du globe. Le Rapport 2022 de la confiance numérique vous livre un tableau complet de la situation actuelle, de son importance pour votre activité et des progrès qui restent à accomplir.
Depuis la parution de notre première étude sur la confiance numérique en 2022, les dirigeants d’entreprise s’approprient peu à peu ce concept primordial pour la sécurité de notre monde ultra connecté.
Nul ne s’étonnera de cette prise de conscience au vu du nombre croissant de réseaux à gérer, des preuves de confiance exigées par les clients et de la généralisation du télétravail en entreprise.
Mais est-ce suffisant ?
Selon notre dernier rapport, deux tiers des décideurs savent que leur entreprise court un danger. Plus alarmant encore, 33 % des entreprises de notre échantillon, à savoir les organisations se situant dans la couche intermédiaire entre leaders et retardataires, se croient bien mieux protégées qu’elles ne le sont réellement.
Lisez le rapport pour découvrir les résultats des entreprises face aux grands enjeux du moment :
Téléchargez l’infographie pour obtenir un aperçu des résultats de notre étude.
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